Faut-il
continuer à écrire ou bien arrêter, l'écriture doit-elle être
laborieuse ou bien élan spontané? Si l'élan n'est plus là, le
labeur vaut-il la peine? Dilemme dilemme!Là
où il y a de la peine il n'y a pas de plaisir dit-on! Mais on ne
peut atteindre le plaisir sans peine alors! Dilemme. Mais qui a dit
qu'il y avait plaisir à écrire? N'est ce pas plutôt une nécessité
vitale qui n'est ni de l'ordre du plaisir ni de l'ordre de la peine.
La nécessité vient de plus loin que soi, de plus profond que que
soi. On est pris en otage, pris pour cible, on ne fait rien , on
écrit c'est tout et si on a rien à dire il reste la bile!
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