Il
avance comme
un gosse qui n'a peur de rien, ni des ombres, ni des feu follets
lumières dansantes devant les yeux les soirs d'orage. Il descend les
escaliers quatre à quatre, se jette dans la cohue de la ville,
aspire la vie à pleine dents avec un sourire carnassier. L'espoir
est devant la peur derrière. Il vit au présent se moque des
légendes funestes. Son rire moqueur entraîne tout. Si tu le croises
rue Saint Vincent, salue le pour moi. Je suis son jumeau son alter
ego. Je crois que la vie nous veut plus que nous la voulons.
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