La
première fois que que je suis allée à Venise, je n'ai pas vu les
touristes, les hôtels de luxe, les vendeurs à la sauvette, les
boutiques de souvenirs fabriqués en Chine, les amoureux dans les
gondoles chics, tout le coté cliché clinquant ringard et
artificiel. Je me suis senti chez moi. En dehors de tout. Au de là
de tout. Dans une autre Venise, étrange et mystérieuse, celle des
ruelles fines et désertes qui resserrent et vous font pleurer
l'âme, celle des places ombragées avec leur puits au centre, celle
des reflets changeants dans les canots, des cloître déserts.
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