La
beauté en cet endroit précis lorsque je descends du train gare de
Santa Lucia, lorsque Venise me cueille en ses ruelles, ses canots,
ses places. Ce pourrait être une beauté surfaite, un décor pour
la consommation de masse, mais Venise chaque fois me coupe le
souffle, me saisit de ravissement. Je ne me lasse pas de ces courbes,
de ces lignes qui rejoignent le ciel, de ces dorures, des ces
sculptures, des ses peintures. Elle me prend et m'emporte ailleurs.
Les couleurs vives de l’île de Burano se reflétant dans la
lagune, le silence du cloître de San Francesco.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire